En dépit des restrictions d'exportation introduites en 2014 après l'annexion de la Crimée par la Russie et malgré les sanctions en vigueur, des composants et machines-outils suisses continuent à nourrir l'arsenal
En dépit des restrictions d'exportation introduites en 2014 après l'annexion de la Crimée par la Russie et malgré les sanctions en vigueur, des composants et machines-outils suisses continuent à nourrir l'arsenal de guerre de Vladimir Poutine. Comment le «Made in Switzerland» se retrouve-t-il sur les armes russes ?